Leçon de vie!

par Admin Ven 13 Déc 2013 - 9:50

« J'ai pleuré une fois quand j'étais petit parce que je n'avais pas de chaussure pour jouer au Foot avec mes amis. Mais un jour j'ai vu un homme qui n'avais pas de pieds, et j'ai réalisé au combien j'étais riche.» - Zinédine Zidane.

par Admin Ven 13 Déc 2013 - 9:52

Being rich is not how much you have, it's how much you give..

par Admin Ven 13 Déc 2013 - 9:58

دخل الطبيب الجراح للمستشفى بعد أن تم استدعاؤه لإجراء عملية فورية لأحد المرضى

وقبل أن يدخل غرفة العمليات واجهه والد المريض وصرخ في وجهه : لم التأخر؟ إن حياة ابني في خطر؟ أليس لديك إحساس ؟

فابتسم الطبيب ابتسامة فاترة وقال : أرجو أن تهدأ وتدعني أقوم بعملي..
...
فرد الأب : ما أبردك يا أخي! لو كانت حياة ابنك على المحك هل كنت ستهدأ؟ ما أسهل موعظة الآخرين؟.

تركه ال...طبيب ودخل غرفة العمليات ، ثم خرج بعد ساعتين على عجل وقال لوالد المريض: لقد نجحت العملية ، والحمد لله ، وابنك بخير ، واعذرني فأنا على موعد آخر.

ثم غادر دون أن يحاول سماع أي سؤال من والد المريض.

ولما خرجت الممرضة سألها الأب: ما بال هذا الطبيب المغرور؟ فقالت: لقد توفي ولده في حادث سيارة ، ومع ذلك فقد لبى الاستدعاء عندما علم بالحالة الحرجة لولدك!

وبعد أن أنقذ حياة ولدك كان عليه أن يسرع ليحضر دفن ولده.

*"*"هناك قلوبٌ تتألم ولا تتكلم"
"فلا تحكم على شيء قبل ان تعلم

par Admin Ven 13 Déc 2013 - 10:02

Il était une fois une course ... de grenouilles
L’objectif était d’arriver en haut d’une grande tour.

Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les voir et les soutenir.

La course commença.

En fait, les gens ne croyaient probablement pas possible que les grenouilles puissent atteindre la cime, et toutes les phrases que l’on entendit furent de ce genre :

"Quelle peine !!!
Elles n’y arriveront jamais!"

Les grenouilles commencèrent à se résigner, sauf une qui continua de grimper avec fougue et enthousiasme et les gens continuaient :
"... Quelle peine !!! Elles n’y arriveront jamais!..."

Et les grenouilles s’avouèrent vaincues, sauf toujours la même grenouille qui continuait à insister.

A la fin, toutes se désistèrent, sauf cette grenouille qui,
seule et avec un énorme effort, atteignait le haut de la cime. Les autres voulurent savoir comment elle avait fait.

L’une d’entre elles s’approcha pour lui demander comment elle avait fait pour terminer l’épreuve.

Et découvrit qu’elle... était sourde!

par Admin Jeu 26 Déc 2013 - 5:02

par colibri Jeu 26 Déc 2013 - 5:38

merci pour le partage Avlee c est très sympathique Smile

par Kenni-destroy Jeu 26 Déc 2013 - 5:40

L'anecdote sur la grenouille est excellente :')

par colibri Jeu 26 Déc 2013 - 5:48

la dernière video a failli m'arracher une larme, si seulement le monde était moins insolent

par Admin Sam 28 Déc 2013 - 6:35

À l'époque où un sundae de crème glacée coûtait beaucoup moins, un petit garçon de 10 ans entre dans le café d'un hôtel et s'assoit à une table.

Une serveuse dépose un verre d'eau devant lui. " C'est combien pour un sundae de crème glacée ? " demande-t-il. " 50 cents " répond la serveuse. Le petit garçon sort la main de sa poche et se met à examiner la monnaie qu'elle contient. " Bien, comment pour un simple plat de crème glacée? " demande-t-il. À ce moment il y a des gens qui attendent pour une table et la serveuse commence à perdre patience. " 35 cents " répond-elle sèchement. "Je vais prendre le plat de crème glacée " dit-il.
La serveuse lui apporte sa crème glacée, dépose l'addition sur la table et s'en retourne. Le garçon finit sa crème glacée, paie à la caisse et s'en va.

Quand la serveuse revient, elle a la larme à l'oeil en nettoyant la table. Bien placé au côté du plat vide, il y a 15 cents . Le petit garçon ne pouvait pas prendre le sundae parce qu'il devait lui restait suffisamment de monnaie pour laisser un pourboire..

par sugar Sam 28 Déc 2013 - 8:03

"Un Maître Zen vit un scorpion se noyer et décida de le tirer de l’eau. Lorsqu’il le fit, le scorpion le piqua.
Par l’effet de la douleur, le maître lâcha l’animal qui de nouveau tomba à l’eau en train de se noyer.
Le maître tenta de le tirer nouvellement et l’animal le piqua encore.
Un jeune disciple qui était en train d’observer se rapprocha du Maître et lui dit : « Excusez-moi M...aître, mais m......ais pourquoi insistez vous ???Ne comprenez vous pas qu’à chaque fois que vous tenterez de le tirer de l’eau il va vous piquer ? »
Le maître répondit: « La nature du scorpion est de piquer et cela ne va pas changer la mienne qui est d’aider. »
Alors, le maître réfléchît et à l’aide d’une feuille,il tira le scorpion de l’eau et sauva sa vie, puis s’adressant à son jeune disciple, il continua:

" Ne change pas ta nature si quelqu’un te fait mal, prends juste des précautions.
Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent. Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation. Parce que ta conscience est ce que tu es, et ta réputation c’est ce que les autres pensent de toi…

par Admin Jeu 16 Jan 2014 - 19:02

Albrecht Dürer - Praying Hands

Dans le quinzième siècle, dans un petit village près de Nuremberg, vivait une famille de dix-huit enfants. Dix-huit! Pour simplement garder la nourriture sur la table pour cette foule, le père et chef de ménage, un orfèvre de profession, travaillé presque dix-huit heures par jour à son commerce et à tout autre corvée payant Pourrait-il trouver dans le voisinage.

En dépit de leur état apparemment désespérée, deux des enfants de Albrecht Durer l'aînée avait un rêve. Ils voulaient tous les deux poursuivre leur talent pour l'art, mais ils savaient pertinemment que leur père ne serait jamais en mesure financièrement d'envoyer l'un d'eux à Nuremberg pour étudier à l'Académie.

Après de longues discussions le soir dans leur lit encombré, les deux garçons, enfin travaillé sur un pacte. Ils lancez une pièce. Le perdant serait de descendre dans les mines à proximité et, avec ses gains, soutenir son frère alors qu'il a fréquenté l'Académie. Puis, quand ce frère qui a gagné le tirage au sort a terminé ses études, en quatre ans, il appuiera l'autre frère à l'académie, soit avec des ventes de ses œuvres d'art ou, si nécessaire, également en travaillant dans les mines.

Ils ont jeté une pièce de monnaie sur un dimanche matin après la messe. Albrecht Durer gagné le toss et s'en alla à Nuremberg.

Albert est descendu dans les mines dangereuses et, pour les quatre prochaines années, financé son frère, dont le travail à l'académie était presque une sensation immédiate. Les gravures d'Albrecht, ses gravures sur bois, et ses huiles étaient bien meilleures que celles de la plupart de ses professeurs, et au moment où il est diplômé, il commençait à toucher des honoraires considérables pour ses œuvres commandées.

Quand le jeune artiste retourna à son village, la famille Durer a organisé un dîner festif sur leur pelouse pour célébrer Homecoming triomphante d'Albrecht. Après une longue et mémorable repas, ponctué de musique et de rires, Albrecht se leva de sa place d'honneur à la tête de la table de boire un toast à son frère bien-aimé pour les années de sacrifice qui a permis Albrecht de réaliser son ambition. Ses derniers mots ont été: «Et maintenant, Albert, béni mon frère, maintenant c'est votre tour. Maintenant, vous pouvez aller à Nuremberg pour poursuivre votre rêve, et je vais prendre soin de vous. "

Toutes les têtes se tournèrent en attente impatiente à l'autre bout de la table où était assis Albert, les larmes coulant sur son visage pâle, en secouant la tête baissée, de gauche à droite alors qu'il pleurait et répétait, encore et encore, "Non ... non ... non ... non ».

Enfin, Albert se leva et essuya les larmes de ses joues. Il baissa les yeux vers la longue table les visages qu'il aimait, et puis, tenant entre ses mains près de sa joue droite, dit-il doucement, «Non, mon frère. Je ne peux pas aller à Nuremberg. Il est trop tard pour moi. Regardez ... regardez ce que quatre ans dans les mines ont fait de mes mains! Les os de chaque doigt ont été brisées au moins une fois, et dernièrement, j'ai été souffrant d'arthrite si mal dans ma main droite que je ne peux même pas tenir un verre de retourner votre pain grillé, et encore moins faire des lignes fines sur parchemin ou toile avec un stylo ou une brosse. Non, mon frère ... pour moi c'est trop tard. "

Plus de 450 ans ont passé. A l'heure actuelle, les centaines de magistrales portraits, crayon et croquis argent-point, aquarelles, fusains, gravures sur bois et gravures sur cuivre d'Albrecht Durer accrocher dans chaque grand musée du monde, mais les chances sont grandes que vous, comme la plupart des gens, êtes familiarisé avec seulement l'une des œuvres d'Albrecht Dürer. Plus que d'être simplement familier avec elle, vous pouvez très bien avoir une reproduction accrocher dans votre maison ou au bureau.

Un jour, pour rendre hommage à Albert pour tout ce qu'il avait sacrifié, Albrecht Dürer a soigneusement battues mains de son frère avec les paumes et les doigts minces tendue vers le ciel. Il a appelé son dessin puissant simplement "Hands", mais le monde entier presque immédiatement ouvert leur cœur à son grand chef-d'œuvre et rebaptisé son tribut d'amour "Les Mains de prière."

La prochaine fois que vous voyez une copie de cette création touchante, prendre un second regard. Let It Be votre rappel, si vous avez encore besoin d'une, Que nul - personne - jamais fait tout seul!

par Admin Sam 22 Fév 2014 - 23:07

par yavana Dim 23 Fév 2014 - 22:11

LE DISCIPLE dit à son maître :
« J’ai passé une grande partie de la journée à penser à des choses auxquelles je ne devrais pas penser, à désirer des choses que je ne devrais pas désirer, à caresser des projets que je ne devrais pas caresser. »
Le maître proposa à son disciple une promenade dans la forêt derrière chez lui. En chemin, il lui désigna du doigt une plante et lui demanda s’il en connaissait le nom.
«La belladone, répondit le disciple. Elle peut tuer celui qui en mange les feuilles.
— Mais elle ne peut pas tuer celui qui se contente de l’observer, répliqua le maître. De même, les désirs négatifs ne peuvent vous causer aucun mal si vous ne vous laissez pas séduire par eux. »

Paulo coelho = maktub ♥♥

par yavana Dim 16 Mar 2014 - 5:07

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